Pourquoi retrouve-t-on tant de propos se moquant des prétentions intellectuelles des femmes dans la littérature française des trois siècles passés?
Ces images doivent être replacées dans leur contexte de parution : celui de la progression des femmes sur le chemin du savoir. Les deux grandes périodes où l’on a le plus ri des femmes et de leurs prétentions littéraires correspondent aux deux grandes vagues d’alphabétisation des femmes en France.
Sandrine Aragon, « Une femme qui lit est-elle par définition comique ? », Résonances, « Les femmes et le rire », numéro 6, novembre 2000,
p. 30.